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Les années 60 de a à z

L

L'amour c'est comme un jour (1962)

Michèle Arnaud, Charles Aznavour...

Le soleil brille à pleins feux
Mais je ne vois que tes yeux
La blancheur de ton corps nu
Devant mes mains éperdues
Viens, ne laisse pas s'enfuir
Les matins brodés d'amour
Viens, ne laisse pas mourir
Les printemps, nos plaisirs

L'amour c'est comme un jour
Ça s'en va, ça s'en va l'amour
C'est comme un jour de soleil en ripaille
Et de lune en chamaille
Et de pluie en bataille
L'amour c'est comme un jour
Ça s'en va, ça s'en va l'amour

C'est comme un jour d'un infini sourire
Une infinie tendresse
Une infinie caresse
L'amour c'est comme un jour
Ça s'en va mon amour

Notre été s'en est allé
Et tes yeux m'ont oublié
Te souviens-tu de ces jours
Où nos cœurs parlaient d'amour
Nous n'avons pu retenir
Que des lambeaux de bonheur
S'il n'y a plus d'avenir
Il nous reste un souvenir

L'amour c'est comme un jour
Ça s'en va, ça s'en va l'amour
C'est comme un jour de soleil en ripaille
Et de lune en chamaille
Et de pluie en bataille
L'amour c'est comme un jour
Ça s'en va, ça s'en va l'amour

C'est comme un jour d'un infini sourire
Une infinie tendresse
Une infinie caresse
L'amour c'est comme un jour
Ça s'en va mon amour

L'amour est dans ta rue (1965)

Mathé Altéry, Georges Guétary...

Un air de printemps passe dans ta rue
Même quand partout ailleurs l'hiver n'en finit plus
Y a des musiciens dans toutes les cours
Dans ta rue se promène l'amour

L'odeur des lilas flotte dans ta rue
C'est le refuge éternel des amoureux perdus
A tous les oiseaux elle offre un abri
Dans ta rue le bonheur est chez lui

Pour moi c'est le cœur du monde
L'horizon de toutes mes joies
Je vois lorsque la nuit tombe
Comme une étoile ta fenêtre sous les toits

Des rires d'enfants courent dans ta rue
Et plus d'un passant y trouve un air de bienvenue
Un peu de soleil leur a dit bonjour
Dans ta rue je suis bien mon amour

Ta rue qui vibre encore
De nos pas dans les soirs d'été
Retour au seuil de l'aurore
Le long des murs qui nous rappellent nos baisers

Ma vie toute entière est là dans ta rue
Je l'ai su dès la première fois où je t'ai vu
Le ciel l'a promis et ta rue un jour
Deviendra notre rue mon amour

L'amour te ressemble (1967)

Salvatore Adamo

Toi, l'amour te ressemble, si fort que j'en tremble
Et je me demande dans quel paradis perdu
Dans quelle légende, quel rêve où j'étais troubadour
J'ai pu te rencontrer un jour ?

Toi, l'amour te ressemble, si fort qu'il me semble
Que j'ai connu tes yeux et ton sourire
Au pays merveilleux de mes délires !

Toi, l'amour te ressemble, si fort que j'en tremble
Mais tu viens me surprendre quand je n'y croyais plus
Quand, lassé d'attendre, j'allais au fil de mes jours noirs
Perdu, le cœur au désespoir

Toi, l'amour te ressemble et cœur à cœur restons ensemble
Et tu verras ma mie que dans la longue errance
Qu'avait été ma vie sans ta présence
Tout te ressemble.

L'ange que j'attendais (1964)

Frank Alamo

Tu n'es pas l'ange que j'attendais
Non, non, tu n'es pas cet ange
Mais pour donner le change
Tu as un don inné

Tu n'es pas l'ange que j'attendais
Non, non, mais tu es fine mouche
Tu brûles qui te touche
Au troisième degré

{Refrain:}
Non, non, non, non, non, non, non
Tu n'es pas l'ange que j'attendais
Non, non, non, non, non, tu n'es pas
L'ange que j'attendais

Tu n'es pas l'ange que j'attendais
Non, non, mais maligne et profonde
Tu sais tromper ton monde
Et je m'y suis trompé

Tu n'es pas l'ange que j'attendais
Non, non, tu en es le contraire
Avec un caractère
Pour le moins compliqué

{au Refrain}

Tu n'es pas l'ange que j'attendais
Non, non, tu n'es pas cet ange
Et pourtant c'est étrange
Ma vie est transformée

Tu n'es pas l'ange que j'attendais
Non, non, mais au fond quand j'y pense
Ça n'a pas d'importance
Puisque nul n'est parfait

Non, non, non, non, non, non, non
Tu n'es pas l'ange que j'attendais
{x5:}
Tu n'es pas l'ange que j'attendais
Mais je t'aime comme tu es

L'anniversaire de Beethoven (1967)

Antoine

Les enfants sont bien contents
Ils attendent ça depuis longtemps
Toutes les nuits, ils en rêvent
Les enfants ont bien de la veine
Dans quarante-cinq jours à peine
C'est l'anniversaire de Beethoven

Les enfants cassent leur petit cochon
Pour acheter des milliers de bonbons
Et des jouets de toutes les couleurs
Les magasins ne ferment qu'à neuf heures
Dans trente-trois jours à peine
C'est l'anniversaire de Beethoven

Les petites filles ont le coeur en joie
Elles emmènent les garçons dans les bois
Toutes sauf la pauvre petite Lucie
Aujourd'hui, elle ne peut pas
Rendez-vous dans une semaine
Pour l'anniversaire de Beethoven

Les petites filles ont les larmes aux yeux
Avec les garçons, deux par deux
On découpe le merveilleux gâteau
Que ne l'avons-nous mangé plus tôt !
Aujourd'hui, quelle aubaine
C'est l'anniversaire de Beethoven

Le grand jour est déjà passé
Les enfants se sont bien amusés
Ils ont ri, ils ont dansé
Mais ils n'ont rien à regretter
Ils savent tous qu'après-demain
C'est la fête de Frédéric Chopin !

L'enfant Do (1962)

Hugues Aufray, Pétula Clark...

Quand j'étais un tout petit
enfant
Ma mamie fredonnait en me berçant
L'enfant do, dormira bientôt
Je fermais les yeux en écoutant
Ma mamie qui chantait tout doucement
L'enfant do, Seigneur qu'il fait chaud

Il nous faudrait un peu de pluie
La terre a soif et se languit,
L'enfant do, le ciel est trop beau Oh oh oh oh
Mon dieu faîtes que la pluie ruisselle
Pour que la réco-olte soit belle
L'enfant do, dormira bientôt.

Quand j'étais un tout petit enfant,
Je savait qu'un beau jour je serai grand
L'enfant do, prendra le bateau
M'en irai gagner beaucoup d'argent
Et reviendrai bercer ses cheveux blancs
L'enfant do, partira bientôt.

J'ai fait tout çà oui mais voilà
Notre mamie n'était plus là
L'enfant do, elle dort là-haut oh oh oh oh
Et depuis dans ma tête rôde
La jolie berceuse des nuits chaudes
L'enfant do, dormira bientôt,
L'enfant do, dormira bientôt,
l'enfant do, dormira bientôt.

L'homme Orchestre (1965)

Hugues Aufray

{Refrain:}
Hey Monsieur! L'homme Orchestre
Joue moi ta chanson
J'ai pas sommeil
Et la vie Me Mèn'seul' n'importe ou
Het Monsieur L'homme Orchestre
Fais chanter mes nuits
Dans cet'Jungle-Monnaie
Emmèn'Moi loin d'ici


J'ai vu au soleil couchant, un empire s'effondrer
Aux sables s'envoler
sous mes Yeux blessés, mais toujours éveillés
Fatigué, épuisé et les pieds entravés
Personn' à qui parler
aux Mortes cités de mes rêves émigrés

{au Refrain}

Conduis-moi Très loin là-bas, sur ton magiqu' Trois mats
Mes Mains sont déchirées, mes orteils sont gelés
Mais comm'hier mes bottes sont celles d'un vagabond
Prêt à partir pour n'importe où
A dormir dans un trou
au cœur des grandes parades
Jette un sort sur mes ballades
je veux m'en aller avec toi, je suis prêt à tout.

{au Refrain}

L'incendie (1962)

Richard Anthony

Près de toi, contre toi, mon coeur brûle
Près de toi, tout en moi s'y bouscule
Et plus rien, non plus rien, n' m'intéresse
Et je prie, je supplie tes caresses
C'est ainsi, quelle folie dans ma vie
Mes amis m'ont bien dit

{Refrain:}
Ouais
Je ferais le tour du monde
Sans jamais voir à la ronde
Une passion si profonde
Un incendie
Chaque jour, chaque seconde
Cet amour est là qui gronde
On dirait quand il m'inonde
Un incendie, un incendie

{x2:}
Près de toi, contre toi, le temps passe
Et mon sang, tout mon sang se déplace
Et la joie d'être là me chavire
Tous les deux, c'est du feu, du délire
C'est ainsi, quelle folie dans ma vie
Mes amis m'ont bien dit

{au Refrain}

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