On n’apprend pas grand-chose sur ce pas en écoutant "Loop de Loop", ni avec la version de Frank Alamo, ni avec celle de Dalida ou de Richard Anthony. La version américaine de Johnny Thunder ne nous en dit pas plus, si ce n'est que c'est un amusement idéal pour les boums du samedi soir.
En fait, le loop de loop n'est en fait qu'un avatar passager et ralenti du twist, lequel commence à donner en ce début d'année 1963 quelques signes de faiblesses. Une désaffection qui ne profitera pas au loop de loop.